
Editeur : Michel Lafon (6 mai 2010)
Prix editeur : 17,90 euros
Quatrième de couverture:
A l'âge de 17 ans, la vie de Veronica Miller, alias " Ronnie ",'` est bouleversée par le divorce de ses parents et le départ soudain de son père, qui abandonne New York pour la Caroline du Nord. Elle lui en veut vraiment et refuse de le voir depuis la rupture... Jusqu'au jour où, trois ans plus tard, sa mère décide de l'envoyer passer un été avec lui, espérant une réconciliation. Le père de Ronnie, ancien pianiste et professeur, mène une vie paisible en bord de mer où il se consacre à la confection d'une oeuvre d'art. Dès son arrivée, Ronnie se rebelle et menace de partir. Mais bientôt, elle fait la connaissance de Will, un jeune homme du village, qui va faire chavirer son coeur. Baissant sa garde, va-t-elle enfin réussir à s'ouvrir au bonheur ?
Commentaire:
Dans l'obligation de passer l'été avec son père qu'elle a refusé de voir depuis plusieurs années, la jeune femme rebelle qu'est devenue Ronnie Miller à du mal à accepter sa condition. Prête à tout pour quitter ce père qu'elle croit détester et la ville paisible qu'il habite, elle tente par son attitude et son silence, d'échapper à son sort. Elle sera toutefois surprise par la tournure que prendront les événements lors de sa rencontre avec Will, un jeune homme qui l'obligera à dévoiler ses plus belles qualités et à découvrir que l'amour est le plus doux des pardons.
J'avoue avoir eu du mal à intégrer l'histoire au début mais au final le récit s'est révélé envoûtant et émouvant.
Il déroule avec lenteur le chemin du bonheur et de l'amour, au travers du souvenir inoubliable de nos premiers étés. Une leçon de vie que nous aurions tous aimé vivre lors de nos 17 ans.
Un livre terriblement prenant avec un final qui fera sortir les mouchoirs pour certains.
CamLaMordue, Posté le vendredi 02 décembre 2011 13:53
Excellent livre ! J'ai pleuré durant toute la fin, pourtant j'avais déjà vu le film et je connaissais donc ce qui allait ce produire. Rien à faire, il fallait à tout bout de champ que j'arrête de lire quelques instants à cause de mes larmes qui me brouillaient la vue !